À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
Que ce soit par une église aux dômes impressionnants ou par un commerce aux saveurs européennes, la présence des Européens de l’Est à Montréal est visible dans tous les quartiers.
En 1866, un projet de l’évêque de Montréal menace l’intégrité des églises irlandaises catholiques. Le père Patrick Dowd, curé de l’église Saint-Patrick, compte parmi ses plus farouches opposants.
Au début du XXe siècle, l’Afrique est peu connue des Montréalais. C’est à travers les lunettes des missionnaires qu’ils en font la découverte.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Au XXe siècle, de nombreux Colombiens se sont établis à Montréal, dans des conditions et pour des raisons très diverses. Ils forment aujourd’hui une communauté originale.
Actif depuis 1952, le théâtre ambulant pour les jeunes Montréalais La Roulotte est l’œuvre de Paul Buissonneau. Ce géant de la télévision et du théâtre a énergiquement influencé la scène montréalaise.
Emportant cinq médailles, dont trois d’or, et obtenant la note parfaite de 10, la jeune gymnaste roumaine Nadia Comaneci a été l’incontestable héroïne des Jeux olympiques de Montréal de 1976.
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.
Élu en 1846, John Easton Mills ne s’illustra guère durant sa courte carrière de maire de Montréal, jusqu’au jour où il perdit la vie dans des circonstances héroïques.