Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.
Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.
Dès la fin du XVIIIe siècle, un secteur du Vieux-Montréal est consacré à l’administration civile et à la justice. Encore de nos jours, juristes et fonctionnaires municipaux s’y activent.
Contribuant à résoudre la grave pénurie de logements de l’après-guerre, la vaste coopérative de Saint-Léonard est à l’origine d’une nouvelle banlieue et marque l’avènement d’un mode de vie.
Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.
Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».
Au cours des années 1960 et 1970, les familles portugaises sont nombreuses à élire domicile sur le Plateau Mont-Royal. Encore 13 % des Montréalais d’origine portugaise y vivent en 2011.
Reconnue pour son importance symbolique et architecturale, la basilique Notre-Dame accueille de nombreuses cérémonies pour des personnalités québécoises et des centaines de milliers de visiteurs.
Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.