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Affichage 11 à 20 de 88 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Boulevard Saint-Laurent en direction nord, prise à partir de la rue Vitré (aujourd'hui l'avenue Viger). On peut remarquer sur le flanc gauche une succession d'édifices abritant différents commerces dont l’édifice Robillard.

Dévasté par un incendie en 2016, l’édifice Robillard avait une valeur patrimoniale indéniable. De 1896 à 1897, il avait abrité la première salle exclusivement cinématographique du Canada.

2010. Françoise Lemieux au moment de son entrevue.

Rollande Prieur a habité dans le Red Light de 1928 à 1950.

Photographie couleur montrant en gros plan une foule à l’extérieur.

Le boum démographique des années 1960 ainsi qu’une immigration aux origines nouvelles ont transformé Montréal. Ouverte sur la planète entière, Expo 67 a été une introduction à cette métamorphose.

Une femme tenant un micro interviewe un homme d’origine chinoise sur une place publique dans le Quartier chinois.

Le projet EnQuête d’histoires a lancé de jeunes Montréalais à la découverte de la communauté sino-montréalaise. Il a ainsi permis la sauvegarde de patrimoines et un rapprochement des communautés.

Photographie du canal de Lachine, vu à vol doiseau de biais à Montréal

Une sélection de contenus sur l’histoire montréalaise de 1840 à 1896

Bâtiment démoli dans le quadrilatère de Radio-Canada, avec le pont Jacques-Cartier en arrière-plan, 1963.

Longtemps, ce quartier est habité par une population canadienne-française qui travaille dans les manufactures de Montréal. De 1960 à 1963, des centaines de familles vivant dans ce secteur ouvrier doivent déménager.

Femme suspendant des vêtements sur une corde à linge.

Dans les années 1930, 1940 et 1950, le quartier ouvrier Red Light est reconnu pour sa vie nocturne mouvementée. Des activités illicites, comme la prostitution et le crime organisé, s’y déroulent.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.

Une femme et deux enfants sur le côté d’une maison rue Britannia.

Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.

Gérard Beaudet

Gérard Beaudet est professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal. Il a été interviewé dans le cadre de l’exposition-documentaire du Centre d’histoire Quartiers disparus.