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Affichage 21 à 30 de 52 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Page du journal Pilot Extra sur le grand incendie de 1852.

Tous les efforts des pompiers volontaires montréalais pour stopper l’incendie de juillet 1852 sont vains. En effet, un malheureux hasard permet au feu de se propager et de détruire 1200 maisons.

Photo en noir en blanc de 1955 d’un garçon et d’un homme se tenant par la taille dans une ruelle en terre, une voiture se trouve au bout. Ils se tiennent près d’une maison.

Des habitants de Ville-Émard se souviennent de la vie des ruelles, un espace où les adultes commerçaient et socialisaient, tandis que des tribus d’enfants y établissaient leur domaine.

Découpes de personnes portant des pancartes avec des slogans.

L’ère des grands projets a laissé un héritage contrasté. Étonnamment discret, le grand héritier de cette époque, le citoyen, est un acteur qui a graduellement pris la place qui lui revient.

Fonctionnaire de la Ville de Montréal dans une usine du Faubourg à m’lasse.

Des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole disparaissent dans les années 1950 et 1960 au nom de la modernité. Il faut tout documenter. Des fonctionnaires sont à l’œuvre sur le terrain.

Deux jeunes hommes sont accoudés à une voiture stationnée devant une rangée de maisons à deux et trois étages dans la rue de l’Hôtel-de-Ville.

Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…

Illustration montrant les installations de la Montreal Rolling Mills Co

Au début du XXe siècle, la Canadian Tube & Steel Company, établie à Ville-Émard, contribue à l’essor industriel et résidentiel du quartier.

Carte présentant le tracé des rues de différentes municipalités, parmi lesquelles « Saint-Louis du Mile End » apparaît. On peut également y voir les inscriptions « Mile End Station » ainsi que « Mile End P.O. ».

Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.

Joueurs de Bocce

Rue Saint-Laurent, lorsque les odeurs de café et de tomates prennent d’assaut vos narines et que les drapeaux vert, blanc, rouge happent votre œil, vous savez être rendu dans la Petite Italie.

Carte en sépia montrant un espace clairsemé avec peu d’habitations. Les mots COTE à BARON sont visibles en caractères noirs en haut au centre de l’image.

Jusqu’au début du XIXe siècle, les secteurs de la côte à Baron et du mont Sainte-Famille évoluent en parallèle. Par la suite, l’urbanisation accélérée fait naître Milton Parc de leur jonction.

Photo prise en début de soirée d'une petite maison ancienne de Saint-Henri

La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».