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Carte postale colorée dans le parc La Fontaine

Criminalisés et réprimés dès la colonisation, les rapports homosexuels sont cantonnés à l’espace privé. Vers 1900, divers lieux de drague homosexuelle, parfois très fréquentés, émergent à Montréal.

Une du journal La Patrie du 30 septembre 1908

En 1908 et 1916, la découverte et le démantèlement de clubs privés voués à des activités homosexuelles ébranlent Montréal. Ce scandale a une forte résonnance dans la presse et marque les esprits.

Cinq jeunes hommes sont assis dans un bar autour d’une petite table remplie de bouteilles et de verres.

Au milieu du XXe siècle, dans une relative discrétion, gais et lesbiennes fréquentent des établissements nocturnes où ils peuvent un peu plus ouvertement se rencontrer, se divertir et s’affirmer, prélude à la revendication de leurs droi

Un homme aux cheveux blancs et souriant en plan rapproché

À une époque où l’homosexualité est considérée comme un crime, Armand Larrivée Monroe révolutionne les bars gais, en offrant à leur clientèle des spectacles conçus pour elle.

Jeune femme, en robe, tenant un chat dans ses bras, sur un balcon d’appartement.

La poète Elsa Gidlow vit les espoirs et déceptions d’une jeune anticonformiste dans le Montréal des années 1910 alors que les possibilités de nouer des relations lesbiennes sont rares.

Portrait d’Alan B. Stone lors d’une promenade en forêt.

Figure de la culture gaie montréalaise, Alan B. Stone est un photographe passionné qui a construit une œuvre inspirée autant par les paysages urbains que les culturistes ou les sites naturels.