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Vue aérienne oblique du secteur du Red Light, avec le pont Jacques-Cartier en arrière-plan.

Le Red Light est en transformation dans les années d’après-guerre. Malgré sa réputation sulfureuse, le quartier reste résidentiel et une partie de sa population ne profite pas des activités illégales.

Photo d'Alys Robi en 1947.

Alys Robi est la première star internationale du Québec. Portée par un talent certain, la vedette des cabarets de la Main entame une véritable carrière internationale. Mais sa gloire sera éphémère.

Albert J. Giroux (assis) serrant la main du photographe Jean-Paul Gill lors d’une fête pour la retraite de M. Giroux.

Jean-Paul Gill a été photographe pour la Ville de Montréal de 1951 à 1983. C’est lui qui arpenta les rues du Red Light et de Goose Village pour faire l’inventaire des lieux.

2010. Françoise Lemieux au moment de son entrevue.

Rollande Prieur a habité dans le Red Light de 1928 à 1950.

Deux jeunes hommes sont accoudés à une voiture stationnée devant une rangée de maisons à deux et trois étages dans la rue de l’Hôtel-de-Ville.

Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…

Femme suspendant des vêtements sur une corde à linge.

Dans les années 1930, 1940 et 1950, le quartier ouvrier Red Light est reconnu pour sa vie nocturne mouvementée. Des activités illicites, comme la prostitution et le crime organisé, s’y déroulent.