Créée dans les années 1980, dans un quartier alors peu multiethnique, l’épicerie-restaurant Méli-Mélo a contribué à changer l’image de la communauté haïtienne aux yeux de nombreux Montréalais.
Avant l’essor de la musique préenregistrée, les stations de radio montréalaises s’invitent aux grands concerts et soirées dansantes de la métropole pour diffuser du contenu en direct.
De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.
Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.
Réputé pour son service exemplaire, sa fine cuisine et ses cocktails chics, le Ruby Foo’s était fréquenté par les célébrités et les quidams en quête de faste.
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.
Ce napperon d’un restaurant très populaire de la rue Sainte-Catherine Ouest a été donné par une famille ontarienne qui ne manquait jamais d’aller manger dans cet établissement lors de ses visites annuelles à Montréal.
Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.
Maître du monde du jeu et des paris illégaux, riche homme d’affaires, Harry Ship bénéficiait impunément du système de protection policière qui sévissait à Montréal dans les années 1940.
Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.