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Capture d’écran du clip montrant Joaquina et José-Louis assis et discutant

Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Impressão de ecrã de um clipe: José-Louis mostra uma fotografia tirada de quando era criança, no local onde foi tirada 60 anos depois.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

Photo en noir et blanc en gros plan d’une jeune fille souriante. Derrière elle, un immeuble à appartements.

Les circonstances ont conduit Éva Böröcz, très jeune Hongroise en quête de liberté, dans le Montréal des années 1950. Avec ténacité et enthousiasme, elle y a bâti les débuts d’une vie accomplie.

Fotografia a cores de uma mulher sorridente em plano aproximado, tirada no exterior.

Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.

Illustration d’un soleil avec le titre du documentaire, le nom du réalisateur et de neuf femmes.

Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.

Photo en noir et blanc d’un homme âgé embrassant sa femme sur la joue en plan rapproché. .

En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les plus jeunes témoignent ici de ces liens.

Photo en noir et blanc montrant une petite-fille, debout, qui lève les yeux vers son grand-père, debout à côté d’elle et lui tenant la main. .

En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les aînés témoignent ici de ces liens.

Une femme, de dos, tient son bébé qui est assis sur un muret dans la cour derrière le triplex familial. Une voisine le regarde.

Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?

Oscar Peterson au piano en duo avec Johnny Holmes à la trompette

À partir des années 1920, Montréal a vécu à l’heure du jazz. La Petite-Bourgogne, alors surnommée le « Harlem du Nord », lui a donné des salles et des musiciens de renommée internationale.