Née en Macédoine en 1932, Vasilka immigre au Québec en 1968. Son histoire, qui croise la grande histoire et révèle une facette de l’immigration vers Montréal, a été le sujet d’un film souvenir.
Ce documentaire de Bruno Ramirez et Giovanni Princigalli donne la parole à trois camarades militants qui, de l’Italie du Sud à Montréal, ont toujours lutté pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
Trois vagues migratoires ont constitué la communauté latino-américaine montréalaise, qui s’est approprié son nouvel univers urbain grâce à la fréquentation de lieux d’expression identitaire.
La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.
Au travers de trois témoignages, le documentaire Jours meilleurs révèle différentes facettes de l’immigration de jeunes Italiens à Montréal.
Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.
Apprendre et s’améliorer est fondamental pour Sanaâ Moâtaz. Cette aspiration et le goût de l’aventure, hérités de son grand-père, ont été les moteurs de son émigration du Maroc vers Montréal.
En 1981, Dary Chan quitte un camp de réfugiés pour Montréal, accompagnée de son mari et de six enfants, dont quatre adoptés. Détermination et volonté d’ascension sociale caractérisent son parcours.
C’est parce qu’elle a elle-même subi discrimination et exploitation que Faustina Bilotta décide de s’impliquer pour les droits des immigrantes.