Il fut un temps où les policiers montréalais célébraient en grande pompe la fête de leur saint patron, ils défilaient alors du Champ-de-Mars jusqu’à la basilique Notre-Dame.
L’Oratoire Saint-Joseph est un des lieux phares des célébrations des fêtes à Montréal. Les crèches de la Nativité et les mélodieux Petits Chanteurs du Mont-Royal y attirent des foules.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Les difficiles conditions de vie des immigrants portugais avivent leur attachement au catholicisme. L’Église, puissant élément d’identification, contribue durablement à la cohésion de la communauté.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.
Pierre Huet se souvient qu’en 1967 tout semblait possible. À l’expo, il écoutait les Beatles, voulait des vêtements farfelus, découvrait des cultures... Sa vie, dit-il, a commencé avec Expo 67.
L’été 1967, Roger Nolan, jeune Américain de 13 ans, se rend à Montréal à bicyclette, depuis l’Ohio, pour visiter l’Expo. Avec la permission de ses parents! Il raconte ici cette incroyable aventure.
Jeune adolescent, Roger La Roche visite le chantier d’Expo 67, puis travaille sur le site de l’exposition qu’il explore à maintes reprises. Il dévoile ici, avec passion, ses nombreux souvenirs.
En 1967, sur le site de l’Expo, Veronica et Claude sont deux travailleurs parmi tant d’autres. Cependant, la rencontre de ces deux jeunes issus de l’immigration va changer leur vie pour toujours.