Gardien de la mémoire collective du Quartier chinois, le personnage de Timothy Chiu Man Chan demeure aujourd’hui une source de sagesse et un symbole de résilience.
Andong Wang explore le dessin et la peinture comme vecteurs d’expression. Jumelant rigueur et intuition, ses œuvres reflètent, en trames épaisses ou traits subtils, la richesse de son monde intérieur.
Musicienne la nuit, activiste le jour, Janet Lumb déborde d’énergie. Le regard pétillant, elle édifie des ponts entre les communautés afin d’encourager des échanges interculturels et intergénérationnels.
Peu d’expériences culinaires capturent l’éclectisme et le service effréné du cha chaan teng (茶餐廳, se traduisant par « restaurant à thé »).
Arrivés à Montréal en 1993, Ju Ming Zhou et Hui Qing Liang poursuivent la tradition familiale en ouvrant un commerce spécialisé dans les pâtisseries de Guangzhou.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Au XXe siècle, trois partis politiques organisent la communauté sino-montréalaise. Ils maintiennent aussi un lien avec la mère patrie et favorisent la solidarité entre les Chinois de Montréal.
En 1945, les Chinois de Montréal organisent un grand défilé célébrant la fin de la guerre. Toute la population de la ville est conviée à des festivités pittoresques et d’envergure.
Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.
À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.