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Façade de l’église Saint-Jean-Bosco sur la rue Springland

Le Hall Mazzini, le commerce de la famille Di Lallo ou encore l’église Saint-Jean-Bosco révèlent l’importance de la communauté italienne installée dans Ville-Émard dès le début de son développement.

Une foule de personnes adultes debout se disputent dans une grande salle d’une école secondaire. Certaines chaises sont tombées.

Lors de la crise de Saint-Léonard, les Italo-Montréalais se font entendre sur la question de la langue d’enseignement. C’est un épisode marquant de leur intégration au système scolaire.

Foule massée à l'extérieur de la Maison d'Italie pendant une descente de police.

Dans les années 1930, quelques Italo-Montréalais portent la chemise noire. Peu significatif pour le commun des citadins, le port de cet habit révèle pour les Italiens un appui au régime fasciste.

Édifices sur la rue Craig (aujourd’hui Saint-Antoine), dont la buanderie Song Long.

À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.

Bibliothèque et tables avec des livres.

Arrivés à Montréal à partir des années 1980, des artistes et des intellectuels iraniens y forment des groupes culturels, littéraires et artistiques qui mettent la culture perse à l’honneur.

Article de journal avec une photo montrant des ouvriers devant les bureaux du C.P.R.

À l’aube du XXe siècle, des milliers de saisonniers italiens arrivent au printemps pour travailler sur les grands chantiers du pays. Ils annoncent une vague migratoire qui marquera Montréal.

Des centaines de travailleurs de l’ILGWU passent au vote.

Au début du XXe siècle, des milliers de juifs d’Europe de l’Est débarquent à Montréal et sont embauchés dans les usines. Ils apportent des idéaux politiques qui vont marquer les luttes ouvrières.

Représentation d'Alexander Bercovitch avec manteau brun, foulard et chapeau noir.

Venus d’Europe de l’Est, des artistes juifs peignent Montréal pendant l’entre-deux-guerres. Leur œuvre a annoncé la modernité et nous fait découvrir une page oubliée de l’histoire de la ville.

La première quincaillerie Pascal située au marché Saint-Laurent.

Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.

L’une des rares images de l’intérieur du premier magasin Steinberg avec, derrière la caisse à gauche, Ida Steinberg.

Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.