À la fin du XIXe siècle, le fleuve gelé en hiver sur toute sa largeur force au chômage les débardeurs du port de Montréal. Cependant, des hommes s’activent au milieu de cette « banquise » d’eau douce.
Photographies anciennes et souvenirs familiaux nous emmènent à Lachine au courant du XXe siècle. La vie de certains habitants y était rythmée par le fleuve, mais aussi par le sens des affaires.
Il est attesté que l’île Bizard est accostable par traversier depuis plus de 200 ans. Toujours en place, le bac à traille est presque une curiosité et présente bien des charmes.
Le 11 juillet 1940, Conrad Poirier photographie une troupe de théâtre sur les quais du club d’aviron de Lachine. Pour les amateurs de théâtre d’été, les jeunes artistes allègent le climat de guerre.
Dès la fin du XIXe siècle, le charme de Pointe-Claire attire bien des vacanciers montréalais. Là, ils profitent de clubs de navigation, de terrains de sport, mais aussi, admirent les premiers avions.