Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.
Le documentaire réalisé à l’occasion des 25 ans du Centre Afrika met en valeur l’approche humaine de cet organisme qui soutient l’intégration des Africains dans la société montréalaise.
Ce documentaire de Bruno Ramirez et Giovanni Princigalli donne la parole à trois camarades militants qui, de l’Italie du Sud à Montréal, ont toujours lutté pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Oui, certains Montréalais ont réellement possédé des esclaves. On estime à 4000 le nombre de Noirs et d’Amérindiens réduits en esclavage en Nouvelle-France puis dans la colonie britannique.
Gens d’Église, de guerre, de commerce et de métier, mais aussi petites gens peuplent le Montréal de la Nouvelle-France. Dans cette société, tous se connaissent, mais ne se fréquentent pas forcément.
Parcourons Montréal en 1734, et imaginons la vie des habitants de cette petite ville coloniale, française et catholique. Cité de commerçants et de militaires, elle couvre le Vieux-Montréal actuel.
Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.
À la fin du XIXe siècle, le fleuve gelé en hiver sur toute sa largeur force au chômage les débardeurs du port de Montréal. Cependant, des hommes s’activent au milieu de cette « banquise » d’eau douce.
Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.
Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…