Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.
Après des semaines d’attente et de préparation, Denis Taillefer découvre enfin Expo 67! Il a 11 ans et le monde s’ouvre à lui. Le jeune Montréalais en profitera jusqu’au bout, et même un peu plus.
Prise d’une fièvre tenace, Yolande Méthot a fait 54 visites d’Expo 67! Plus elle y allait, plus elle devait y retourner. Elle a relaté cette belle aventure humaine dans son Récit de l’Expo 1967.
Alors jeune fille de 20 ans, Diane Groulx a travaillé tout l’été 1967 à l’Expo. L’expérience l’a transformée et lui a permis de réaliser l’immensité du monde à découvrir.
Une quinzaine de visites à l’Expo 67 ont marqué Jean Huard pour la vie. Avec enthousiasme, il évoque les activités, les lieux et les découvertes, sans oublier sa collection de souvenirs.
L’été 1967, Nicole Poliquin a la responsabilité, à Trois-Rivières, d’un kiosque d’information touristique sur l’Expo 67. L’étudiante obtient alors un accès privilégié à l’Exposition et au monde.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.