Proposant des aliments aux accents latino-américains, l’épicerie Los Andes, rebaptisée Sabor Latino, se trouve au cœur d’un secteur de Montréal surnommé la Petite Amérique latine.
Fait de papier, mais durable, le « sac à Tousignant » est un souvenir des épiceries de quartier indépendantes du même nom, où les Montréalais ont magasiné de 1916 à 1966.
En 1979, trois immigrants libanais arrivés depuis peu à Montréal y ouvrent une modeste épicerie orientale. Quelques années plus tôt, un restaurant libanais avait été établi sur la même rue.
Le Plateau-Mont-Royal a vibré au rythme des bars lesbiens dans les années 1980. Une communauté lesbienne dynamique s’y est formée, puis développée, avant d’évoluer vers d’autres secteurs de Montréal.
Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.
La municipalité Saint-Jean-Baptiste a été intégrée à Montréal, son marché a disparu. Mais le souvenir de cet ancien lieu de commerce et de vie reste dans la mémoire du Plateau Mont-Royal.
La rue Saint-Hubert, active dès le début du XXe siècle, voit naître la Plaza St-Hubert en 1954. Véritable centre commercial à ciel ouvert, celle-ci est dotée de sa fameuse marquise depuis 1984.
La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.
Édifié au cœur de Milton Parc en 1900, l’édifice Marlborough était destiné à la location haut de gamme. Son style Queen Anne devait charmer les bourgeois montréalais en quête d’un pied-à-terre.
Usines de fabrication, commerces spécialisés, ateliers de réparation… les entreprises liées à la radio se multiplient à Montréal dans le deuxième quart du XXe siècle.