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À la fin des années 1960, le Congrès des écrivains noirs et la crise de l’Université Sir George Williams révèlent un militantisme noir montréalais lié aux mouvements protestataires mondiaux.
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.