Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.
La communauté sino-montréalaise s’est mobilisée à plusieurs moments de son histoire face au racisme et à la xénophobie. Aujourd’hui encore, elle combat courageusement l’embourgeoisement, la sinophobie et l’intolérance.
Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.
Entre les années 1950 et 1970, plus de 25 000 Montréalais sont expropriés et doivent ainsi quitter leur logement et leur milieu de vie. D’anciens résidants et d’anciennes résidantes racontent.
Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
Se regrouper pour faire à manger offre de nombreux avantages. Les cuisines collectives permettent à leurs membres de cuisiner ensemble dans le plaisir, tout en faisant des économies.
Depuis le début du XXe siècle, de multiples associations puis organismes communautaires ont joué un rôle crucial pour accompagner les femmes montréalaises dans différents aspects de leur vie.