Sa vie durant, Gábor Boros a recherché ses racines dans sa Hongrie natale tout en s’ancrant dans son pays d’accueil. Car, même parfaitement intégré, il est impossible de nier d’où l’on vient.
Bruce Allan, aujourd’hui architecte associé du groupe ARCOP à Montréal, raconte la conception de certains pavillons d’Expo 67 et sa participation à leur élaboration, en tant que stagiaire.
En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les aînés témoignent ici de ces liens.
En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les plus jeunes témoignent ici de ces liens.
Comme pour beaucoup de jeunes immigrants, c’est l’esprit d’aventure qui mène Laura à Montréal. Cette folie de jeunesse a toutefois pris une forme inattendue, une réelle mission sociale.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.
L’été 1967, Nicole Poliquin a la responsabilité, à Trois-Rivières, d’un kiosque d’information touristique sur l’Expo 67. L’étudiante obtient alors un accès privilégié à l’Exposition et au monde.
En 1967, sur le site de l’Expo, Veronica et Claude sont deux travailleurs parmi tant d’autres. Cependant, la rencontre de ces deux jeunes issus de l’immigration va changer leur vie pour toujours.
Pierre Huet se souvient qu’en 1967 tout semblait possible. À l’expo, il écoutait les Beatles, voulait des vêtements farfelus, découvrait des cultures... Sa vie, dit-il, a commencé avec Expo 67.