Au début du XIXe siècle, le modeste port de Montréal est inadapté aux ambitions commerciales de la métropole grandissante. Il sera pourtant le principal port céréalier nord-américain en 1926.
Jusqu’au début du XIXe siècle, de multiples ruisseaux et petites rivières parcouraient l’île de Montréal. Transformés pour la plupart en égouts collecteurs, peu ont survécu à l’urbanisation.
Les berges de l’île de Montréal ont été grandement transformées par le développement portuaire et l’urbanisation. Des pressions citoyennes ont toutefois permis d’en revitaliser certaines portions.
Datant de la fin du XIXe siècle, les demeures d’inspiration victorienne de la rue May ont disparu en 2015. Car cette ancienne voie a fait place au tout nouveau pont Samuel-De Champlain.