L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Recherche

Réintialiser la recherche
Affichage 11 à 20 de 55 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Capture d’écran du clip : José-Louis montre une photo prise quand il était enfant en se tenant à l’endroit où elle a été prise près de 60 ans plus tard.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.

Une femme et deux enfants sur le côté d’une maison rue Britannia.

Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.

Gérard Beaudet

Gérard Beaudet est professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal. Il a été interviewé dans le cadre de l’exposition-documentaire du Centre d’histoire Quartiers disparus.

George Glicakis dans son salon de barbier

Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.

Une femme, de dos, tient son bébé qui est assis sur un muret dans la cour derrière le triplex familial. Une voisine le regarde.

Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?

Maquettiste travaillant sur la maquette du centre-ville.

Au nom de la modernisation — autoroutes, métro, Expo 67, complexes immobiliers, hôtels, institutions — disparaissent des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole dans les années 1950 et 1960.

Intérieur d’une pièce sombre au plancher carrelé où il n’y a que quelques meubles.

Implanté dans les communautés culturelles et lié à la pègre internationale, le crime organisé montréalais s’impose dans toutes les activités illégales. Il corrompt aussi le monde légal et politique.

2010. Françoise Lemieux au moment de son entrevue.

Françoise Lemieux a habité dans le Faubourg à m’lasse, rue de la Visitation, de sa naissance en 1939 à 1962. Sa grand-mère habitait à côté. Elles ont vécu la démolition de leurs maisons.

Enfant marchant dans les décombres de maisons dans le Red Light.

Entre les années 1950 et 1970, plus de 25 000 Montréalais sont expropriés et doivent ainsi quitter leur logement et leur milieu de vie. D’anciens résidants et d’anciennes résidantes racontent.