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Il y a de ces récits que l’on écoute dans un silence de respect et de recueillement tant l’expérience et le courage de la témoin sont difficilement concevables.
Lorsqu’elle arrive à Montréal, au début des années 1970, Aoura ne parle que l’italien, est tricoteuse de formation et ne connaît personne. Vingt ans après, elle est décorée chevalière du Québec.