Condamnée pour incendiat, Angélique était une esclave noire, arrivée à Montréal en 1729. Les documents du procès dévoilent certains pans de la vie de cette jeune femme, révoltée ou bouc émissaire.
En 1734, l’esclave Angélique est accusée d’avoir incendié Montréal. Les documents d’archives permettent de reconstituer son procès et son exécution. Ils laissent cependant planer de nombreux doutes.
Contacter les pompiers rapidement n’était pas chose facile avant l’invention du téléphone. L’apparition de la boîte d’alarme à Montréal, en 1863, constitue une véritable révolution.
Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
De tout temps, les Montréalais ont affronté les incendies. Dans ce combat, ils ont bénéficié d’avancées techniques, de la professionnalisation de la lutte et d’une volonté accrue de prévention.
En avril 1734, un incendie ravage Montréal. L’Hôtel-Dieu et 45 maisons sont détruits, des centaines d’habitants, qui ont tout perdu, sont à la rue. Et, comme le feu, une rumeur se répand rapidement…
En juin 1721, 171 maisons ainsi que le plus grand hôpital de Montréal, petite ville coloniale de 2000 personnes, sont réduits en cendres. Ce drame conduira à de grandes améliorations urbaines.