Dans les années 1950-1960, le défilé de Noël du magasin Eaton rassemble à Montréal 11 000 enfants figurants et entre dans les foyers grâce à la télévision. Depuis, les traditions ont changé.
Les difficiles conditions de vie des immigrants portugais avivent leur attachement au catholicisme. L’Église, puissant élément d’identification, contribue durablement à la cohésion de la communauté.
En 1925, marcher sur la rue Notre-Dame Est, de Saint-Laurent à Berri, c’était découvrir la Petite-Syrie, authentique cœur de la vie commerciale et culturelle de la communauté syro-libanaise.
L’ampleur de la production du sculpteur québécois Émile Brunet est étonnamment méconnue. L’artiste talentueux, formé au Québec, aux États-Unis et en France, a en effet signé quelque 200 monuments.
À l’occasion de l’Année sainte, en 1950, Monseigneur Léger dirige une émission radiophonique quotidienne pendant un mois. Plus de 30 000 auditeurs réclameront la prolongation de cette émission.
À partir du XIXe siècle, le mont Royal accueille les cimetières de Montréal, le sauvant ainsi de l’urbanisation. Ces lieux abritent aujourd’hui un riche patrimoine, tant funéraire que naturel.
En 1919, des émissions expérimentales sont diffusées à Montréal sous l’indicatif XWA. Un an plus tard, la XWA devient la première station radiophonique au monde à émettre selon un horaire régulier.
Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.
Comment imaginer qu’à l’emplacement actuel de la place du Canada et du square Dorchester se trouvait le cimetière catholique Saint-Antoine, où furent inhumées environ 55 000 personnes?