Emportant cinq médailles, dont trois d’or, et obtenant la note parfaite de 10, la jeune gymnaste roumaine Nadia Comaneci a été l’incontestable héroïne des Jeux olympiques de Montréal de 1976.
Canadien français le plus prospère de l’ère victorienne, l’audacieux Forget fusionna des entreprises, participa à de nombreux conseils d’administration et assura son rôle politique de sénateur.
À l’occasion de l’Année sainte, en 1950, Monseigneur Léger dirige une émission radiophonique quotidienne pendant un mois. Plus de 30 000 auditeurs réclameront la prolongation de cette émission.
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.
Élu en 1846, John Easton Mills ne s’illustra guère durant sa courte carrière de maire de Montréal, jusqu’au jour où il perdit la vie dans des circonstances héroïques.
Fougueux hockeyeur, Maurice Richard intimidait les gardiens adverses de son regard de feu. Le mythique joueur du Canadien de Montréal, détenteur de nombreux records, garde toujours une place à part.
Figure de la culture gaie montréalaise, Alan B. Stone est un photographe passionné qui a construit une œuvre inspirée autant par les paysages urbains que les culturistes ou les sites naturels.
Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.
Acteur, chroniqueur à Radio-Canada international, co-fondateur du festival Vues d’Afrique, et plus encore, Ousseynou Diop a largement contribué à établir des ponts entre Montréal et le continent africain.
Venus d’Écosse, les frères Morgan créent une maison spécialisée dans le commerce en gros. Quatre générations se sont succédé à la tête de cette entreprise familiale devenue typiquement montréalaise.