Des chercheurs de l’Université de Nottingham ont développé quatre algorithmes chargés d’analyser 383 000 dossiers médicaux de patients britanniques afin d’en extraire les modèles de profils plus enclins à développer des maladies cardiovasculaires.
Comparativement aux méthodes traditionnelles de calculs de risques ACC/AHA, les prédictions faites par l’intelligence artificielle (IA) ont été plus performantes. Les quatre différentes IA ont eu des résultats supérieurs de 7.4 à 7.6 % aux prédictions faites par les médecins sur la base du modèle ACC/AHA. Ces algorithmes ont également permis de réduire les risques de fausses alarmes de 1,6 %. Les résultats de cette recherche permettent de mieux prévenir les occurrences graves telles que les infarctus en adaptant la médication ou le régime des patients.
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