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Plan rapproché d’un homme cubain

Pour Vues transversales. Panorama de la scène artistique latino-québécoise de LatinArte, 10 LatinArtistes évoquent leurs expériences professionnelles et Montréal. Ici, le parcours de Rafael Zaldivar.

Musiciens sur une scène extérieure.

Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.

Joé Armando prend la pose dans un restaurant

Pionnier de la musique latino-américaine au Canada, figure majeure de ce genre et du jazz, « Tito Puente de Montréal », génie de la percussion, gagnant d’un prix Grammy… tel est Joé Armando.

Jorge Ross et son orchestre, 13 personnes au total, reçoivent un prix

Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.

Entrée du Club Balattou de soir, deux hommes se serrent la main

Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.

Une vue en noir et blanc de l’intérieur d’un bar. En haut à gauche, un portrait de Rufus Rockhead.

Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.

Photo de Joe Trouillot souriant et portant chapeau et cravate.

Une voix de crooner, un modèle de vigueur et d’élégance sur scène, ainsi se souvient-on de Joe Trouillot, ce grand homme de spectacle qui a fait danser les foules de Port-au-Prince à Montréal.

Bâtiments de l’usine d’Émile Berliner

En 1908, l’ingénieur allemand Émile Berliner fait construire une usine à Saint-Henri pour y produire sa toute nouvelle invention : le gramophone.

Oscar Peterson au piano en duo avec Johnny Holmes à la trompette

À partir des années 1920, Montréal a vécu à l’heure du jazz. La Petite-Bourgogne, alors surnommée le « Harlem du Nord », lui a donné des salles et des musiciens de renommée internationale.