Lorsqu’elle arrive à Montréal, au début des années 1970, Aoura ne parle que l’italien, est tricoteuse de formation et ne connaît personne. Vingt ans après, elle est décorée chevalière du Québec.
De multiples raisons peuvent mener à la décision d’immigrer. Certaines, comme la guerre et la peur, sont plus tragiques que d’autres.
Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.
Parmi les nombreuses familles peuplant le Mile End au début du XXe siècle, celle des sœurs McNulty détonne. C’est en effet Annie, une célibataire de 26 ans, qui dirige la maisonnée.
Née en Macédoine en 1932, Vasilka immigre au Québec en 1968. Son histoire, qui croise la grande histoire et révèle une facette de l’immigration vers Montréal, a été le sujet d’un film souvenir.
Le film de Giovanni Princigalli (Ho fatto il mio coraggio) a été salué par plusieurs prix. Dans une approche informée et humaine, le documentariste y présente un aspect singulier de l’immigration italienne à Montréal.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.
Les récits de Charlotte Führer ont sans doute fait sourciller ses contemporains. Aujourd’hui, ils sont l’occasion de jeter un regard sur l’histoire d’une Allemande au cœur du Montréal victorien.
Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.