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Illustration du bateau dans le port, avec une foule qui accueille les arrivants.

Jusqu’en 1964, pendant tout l’hiver, les navires ne pouvaient plus rejoindre Montréal, emprisonnée dans la glace. L’arrivée du premier bateau de l’année amorçait alors un véritable retour à la vie.

Le père Noël dans son char allégorique

Dans les années 1950-1960, le défilé de Noël du magasin Eaton rassemble à Montréal 11 000 enfants figurants et entre dans les foyers grâce à la télévision. Depuis, les traditions ont changé.

Un homme et une femme en habits traditionnels péruviens se tiennent sur une scène. En arrière-plan, deux hommes habillés d'un veston noir.

L’installation des Péruviens à Montréal est récente, et ils font encore face à des obstacles économiques. Cependant, ce groupe est déjà très dynamique sur la scène culturelle de la métropole.

Photo en noir et blanc d’une vitrine de grand magasin en 1941. On voit un mannequin féminin portant une robe et un turban. Près d’elle, assis sur un imposant trône d’allure orientale, se trouve un musicien tibétain jouant d’un instrument traditionnel.

Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.

À l’intérieur d’un grand magasin, enfants et adultes prennent place dans un train miniature de Noël stationné dans une salle décorée.

Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.

Illustration montrant un homme et une femme marchant sur le trottoir en hiver et longeant des vitrines de grands magasins.

On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.

Terrain de camping près d'une raffinerie au moment d'Expo 67

L’organisme Logexpo a été le motif de multiples plaintes, critiques et moqueries, et même d’une enquête provinciale. Son but, fort louable, paraissait pourtant assez simple.