Petit chemin de campagne au milieu du XVIIIe siècle, la rue Sainte-Catherine devient une artère commerciale majeure à partir de 1890. Dès lors, elle entre dans le cœur des Montréalais.
Au XIXe siècle, à la faveur de la révolution industrielle et de l’urbanisation, certains commerces de nouveautés se transforment. De simples boutiques, ils deviennent les fameux grands magasins.
En raison du commerce d’importation, puis de l’implantation de brasseries et de distilleries, l’industrie de l’alcool constitue depuis longtemps une importante activité économique à Montréal.
Venus d’Écosse, les frères Morgan créent une maison spécialisée dans le commerce en gros. Quatre générations se sont succédé à la tête de cette entreprise familiale devenue typiquement montréalaise.
À sa mort, en 1836, John Molson compte parmi les plus importants hommes d’affaires de Montréal. Grand brasseur, il a notamment créé, avec ses trois fils, une entreprise familiale qui perdurera.
L’installation des Péruviens à Montréal est récente, et ils font encore face à des obstacles économiques. Cependant, ce groupe est déjà très dynamique sur la scène culturelle de la métropole.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Alors qu’en 1760, le Canada bascule dans l’univers colonial anglais d’Amérique, plusieurs marchands britanniques voient Montréal comme un lieu d’affaires prometteur!
Peu connu, l’homme d’affaires Victor Hudon a cependant joué un rôle important dans le développement de l’industrie cotonnière du Canada au XIXe siècle, et a grandement participé à l’essor d’Hochelaga.