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M. Lavigne et son orchestre au parc Sohmer en 1890.

À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.

Joé Armando prend la pose dans un restaurant

Pionnier de la musique latino-américaine au Canada, figure majeure de ce genre et du jazz, « Tito Puente de Montréal », génie de la percussion, gagnant d’un prix Grammy… tel est Joé Armando.

Jorge Ross et son orchestre, 13 personnes au total, reçoivent un prix

Depuis les années 1960, la musique latino-américaine s’est épanouie à Montréal. Riche de multiples origines, influences et fusions, elle a créé un pont entre les populations immigrantes et d’accueil.

Entrée du Club Balattou de soir, deux hommes se serrent la main

Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.

Pages intérieures d’une brochure promotionnelle sur le Festival mondial

Inaugurée en 1963, la Grande Salle de la Place des Arts enthousiasme experts et public. L’ajout de deux théâtres, hâté par Expo 67, crée un véritable complexe culturel au centre-ville de Montréal.

Photo couleur de la place Jacques-Cartier prise de nuit en hiver avec une mince couche de neige. Des décorations en forme de sapins sont placées en groupe de trois le long de la place. L’enseigne de l’hôtel Nelson est illuminée.

En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.

Photographie en couleurs, d’un homme noir assis devant un piano. Sur le piano est posée une partition de Chopin.

Dès l’âge de neuf ans, Oliver Jones se produit en spectacle et goûte à la vie nocturne montréalaise. Ce prodige musical s’est ensuite fait un nom sur la scène jazz locale et internationale.

Une vue en noir et blanc de l’intérieur d’un bar. En haut à gauche, un portrait de Rufus Rockhead.

Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.

Dans un bar, un chanteur et guitariste joue pour des personnes attablées.

De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.

Photo de Joe Trouillot souriant et portant chapeau et cravate.

Une voix de crooner, un modèle de vigueur et d’élégance sur scène, ainsi se souvient-on de Joe Trouillot, ce grand homme de spectacle qui a fait danser les foules de Port-au-Prince à Montréal.