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Quatre mannequins dans l’exposition Raconte-moi… Haïti et Montréal.

À l’écrit et en parole, Ralph A. Maingrette communique son expérience en tant qu’immigrant et artiste invité pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.

Photo artistique de Myrtelle Chéry

À l’écrit et en parole, Myrtelle Chéry communique son expérience en tant qu’immigrante et artiste invitée pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.

Mannequins dans l’exposition Raconte-moi… Haïti et Montréal

À l’écrit et en parole, Léonel Jules communique son expérience en tant qu’immigrant et artiste invité pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.

L’artiste Geneviève Lahens (Iris)

À l’écrit et en parole, Geneviève Lahens, aussi connue sous le nom d’Iris, communique son expérience en tant qu’immigrante et artiste invitée pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.

Photo artisitique de Clifford Jean-Félix

À l’écrit et en parole, Clifford Jean-Félix communique son expérience en tant qu’immigrant et artiste invité pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.

Une mère et son fils se tirent la langue joyeusement

Le documentaire Raconte-moi… Haïti et Montréal dévoile le parcours d’intégration montréalais de trois familles d’origine haïtienne à la suite du séisme survenu en Haïti en 2010.

Vue sur les magasins de la rue Sainte-Catherine de jour, avec de nombreux passants et la circulation dans la rue.

Au XIXe siècle, à la faveur de la révolution industrielle et de l’urbanisation, certains commerces de nouveautés se transforment. De simples boutiques, ils deviennent les fameux grands magasins.

Une femme et deux enfants sur le côté d’une maison rue Britannia.

Mai 1964 : 350 maisons et commerces disparaissent et 1500 personnes perdent leur milieu de vie. D’anciens résidants témoignent de l’intensité des relations de voisinage dans cette petite enclave.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.

Enfant marchant dans les décombres de maisons dans le Red Light.

Entre les années 1950 et 1970, plus de 25 000 Montréalais sont expropriés et doivent ainsi quitter leur logement et leur milieu de vie. D’anciens résidants et d’anciennes résidantes racontent.