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Le chef d’orchestre Jean Deslauriers au pupitre de l’Orchestre des concerts symphoniques de Montréal, lors d’un concert commandité par la compagnie Dow et radiodiffusé par la station radiophonique de CBC à Montréal

Avant l’essor de la musique préenregistrée, les stations de radio montréalaises s’invitent aux grands concerts et soirées dansantes de la métropole pour diffuser du contenu en direct.

Une cliente, conseillée par un vendeur, vérifie un poste de radio « Hallicrafters World-Wide » au comptoir du magasin Modern Radio Service Inc. Une carte du monde divisée en 24 fuseaux horaires est placée au-dessus de l’appareil

Usines de fabrication, commerces spécialisés, ateliers de réparation… les entreprises liées à la radio se multiplient à Montréal dans le deuxième quart du XXe siècle.

La une de La Presse du 3 mai 1922 intitulée « La Presse fait installer sur le toit de son immeuble le plus puissant poste de radiotéléphonie d’Amérique ».

L’année 1922 marque l’entrée en scène d’un nouveau média à Montréal : la radio commerciale.

Intérieur de cabaret avec spectacle sur la scène, couples attablés et serveurs.

Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.

Pochette de carton dont la couverture est ornée d’un homme en habits arabes. À l’intérieur, une photo en noir et blanc montre un groupe de personnes assises autour d’une table.

Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.

Photographie en noir et blanc d’un groupe de femmes en costume de scène qui dansent. Il y a une vue sur la salle.

Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.

Intérieur d’une maison de paris : deux hommes sont derrière un comptoir, un debout et l’autre assis au téléphone, et trois hommes sont devant, deux debout et un assis avec un journal ouvert devant son visage.

Vers 1950, Montréal est la troisième ville en importance pour le jeu et les paris en Amérique du Nord. Quels facteurs ont favorisé cette expansion? Par quels moyens l’a-t-on stoppée?

Cinq jeunes hommes sont assis dans un bar autour d’une petite table remplie de bouteilles et de verres.

Au milieu du XXe siècle, dans une relative discrétion, gais et lesbiennes fréquentent des établissements nocturnes où ils peuvent un peu plus ouvertement se rencontrer, se divertir et s’affirmer, prélude à la revendication de leurs droi

Dans un bar, un chanteur et guitariste joue pour des personnes attablées.

De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.

Photo couleur de la rue Sainte-Catherine la nuit avec des enseignes au néon et des voitures au premier plan.

En tant que cité du divertissement, Montréal est à son apogée de 1940 à 1960. Toute une économie des plaisirs nocturnes pour adultes s’y développe alors.