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Le maire Honoré Beaugrand vers 1887 affublé de médailles et d’un costume d’apparat.

Homme de presse, Honoré Beaugrand devient maire de Montréal en 1885. Il s’attaque tout d’abord à la situation sanitaire critique de cette ville « crasseuse », où le risque d’épidémie est bien réel.

Un policier, à gauche, tient un homme attaché, au centre, qui est en train de se faire vacciner par un médecin.

Pour contrer l’épidémie de variole qui sévit à Montréal en 1885, le maire Honoré Beaugrand incite la population à se faire vacciner, mais cette idée suscite appréhensions et polémiques.

Vue de face du bain Émard

Le bain Émard est inauguré en 1914, quelques années après l’annexion des quartiers Émard et Saint-Paul à la Ville de Montréal.

Un groupe d'environ une trentaine d'hommes pose sur le bord de la piscine.

Construit en pleine crise économique, le bain Hogan, ouvert de 1932 à 1991, a marqué la mémoire des habitants de Pointe-Saint-Charles.

Portrait en plan poitrine d’un homme qui regarde de biais. Il porte moustache et barbichette.

On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.

Photographie couleur d’une ambulance noire. Sur la porte du côté conducteur, les mots police et Montréal sont écrits en majuscules. Du même côté, à l’arrière, il y a le mot ambulance. Un gyrophare rouge est visible sur le toit de la voiture.

De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!

Carte postale montrant l'hôpital Notre-Dame rue Sherbrooke Est.

Laïque et francophone, l’Hôpital Notre-Dame, ouvert en 1880, répond à une demande croissante de soins hospitaliers. Il ne cessera d’ailleurs de s’agrandir pour combler les besoins médicaux.

Dessin représentant la Mort chevauchant à travers les rues de Montréal, la nuit, accompagnée des spectres du choléra, de la fièvre et de la variole.

Au XIXe siècle, l’état de santé des Montréalais s’aggravant, des mesures sont prises pour enrayer les plus graves épidémies. Les autorités sont enfin convaincues de la nécessité de l’hygiène.