Le bilan 2005-2006 comprend deux parties. La première, structuré en fonction des principaux outils de mise en œuvre, résume les actions de la Ville et de ses partenaires entreprises ou complétées entre les mois de mai 2005 et d’avril 2006. Les politiques et les stratégies élaborées par la Ville et dont le Plan fait écho constituent le premier outil. En plus de faire une brève description de ces politiques ou stratégies, le bilan présente l’état d’avancement de leur élaboration ou de leur mise en oeuvre.
Dans sa deuxième section, la partie I du bilan 2005-2006 décrit la réalisation de la planification détaillée prévue par le Plan d’urbanisme. De fait, certaines portions du territoire de la ville présentent une problématique urbanistique complexe qui ne pouvait être traitée à fond au cours de l’élaboration du Plan. La Ville doit, pour l’ensemble de ces secteurs, mener à terme une planification détaillée selon une approche intégrée et adaptée à la spécificité de chaque cas. Le bilan 2005-2006 présente, pour plusieurs des secteurs, les étapes franchies ou entreprises dans la dernière année et propose un calendrier des étapes prévues en 2006 et 2007.
Le bilan fait ensuite état des programmes et des immobilisations contribuant à la poursuite des objectifs énoncés par le Plan d’urbanisme. Pour l’année 2005-2006, les principales actions de la Ville et de ses partenaires s’articulent autour de cinq thèmes, soit l’habitation, les réseaux de transport, le développement économique, le domaine public et l’environnement.
On dresse également le portrait général de l’avancement de la révision du cadre réglementaire entreprise à la suite de l’adoption du Plan. Cette révision implique notamment la réalisation de règlements de concordance afin de rendre conforme au Plan la réglementation d’urbanisme des arrondissements.
Le bilan 2005-2006 se distingue par le fait qu’il propose une nouveauté quant aux suites de l’adoption du Plan d’urbanisme. De fait, sa partie II présente, pour la première fois, une série d’indicateurs qui permettent d’évaluer les progrès accomplis. Ces indicateurs dressent aussi un portrait de tendances ayant une influence certaine sur le développement du territoire montréalais.
Pour cette première mouture, sept indicateurs ont été établis, soit :
les nouveaux logements;
les nouveaux logements abordables;
les emplois;
les déplacements en transport collectif;
l’offre de transport collectif;
les automobiles et les camions légers;
le transport des marchandises.
Au cours des années à venir, la Ville entend bonifier cette première série en ajoutant de nouveaux indicateurs ou en ajustant certains d’entre eux.
Résumé